Carlo passe voir son pote Steven, mais il tombe sur Matt, le jeune frère de ce dernier, en train de lire tranquillement dans sa chambre. Le jeune minet de 20 ans l’informe que Steven n’est pas à la maison et qu’il ne sait pas quand il va rentrer. Un peu blasé de s’être déplacé pour rien, Carlo commence à engager la conversation avec Matt et lui propose une activité alternative à la lecture de son livre. Il lui plante un baiser sur ses lèvres pulpeuses et le jeune mec se laisse faire. Pour être honnête, ça fait déjà pas mal de temps que Matt fantasme sur le meilleur ami de son frère alors forcément, quand le rêve devient réalité, les embrassades sur le lit du jeune homme se font passionnées. Ils se retrouvent très vite en boxer et Matt frotte son corps fin et imberbe contre le corps musclé du beau trentenaire. Il enlève le slip blanc de Carlo pour prendre en bouche la queue encore un peu molle de ce dernier. Mais les vas et viens langoureux des lèvres juteuses du petit minet auront bientôt raison de la queue de Carlos qui se durcit à vue d’œil. Puis, Matt, peu farouche, se met à quatre pattes et se fait bouffer le cul par la bouche virile du beau Carlos. A voir ses coups de langue effrénés, Carlos devait convoiter depuis quelque temps le petit cul imberbe du jeune minet. Il enfonce ensuite sa queue et commence à baiser le jeune mec dont les halètements se sont de plus en plus forts, signe du plaisir qui monte en lui. Les halètements se transforment en gémissements au fil des coups de queue de plus en plus vigoureux du beau trentenaire. Il agrippe le bassin du frère de son pote et le défonce ardemment en lui faisant claquer le cul. Carlo aime la sensation de chaleur qui s’enveloppe autour de sa queue. Le petit cul de Matt est à la fois confortable et torride. Il se retire enfin et fait glisser Matt au bord du lit pour gicler sur le torse de son jeune amant. Signe de l’alchimie qu’il y a entre eux, les deux amants jouissent en même temps… Pas sûr que Steven approuve que son meilleur pote se fasse son jeune frère… Mais bon, il n’avait qu’à pas sortir…